Smartphones, ordinateurs et tablettes sont devenus indispensables à notre quotidien. Au bout de 2 à 3 années d'utilisation ces équipements sont remplacés par du neuf, car ils sont considérés, à tort, comme étant obsolètes, trop lents et finissent par dormir dans les placards des entreprises.
Gérer la fin de vie de ces appareils semble être un processus long et couteux. Pourtant, les intégrer dans un processus de reconditionnement permettrait :
De plus en plus de professionnels décident d'offrir une deuxième vie à leur matériel pour aller dans le sens de leur démarche RSE. Mais nombreux sont ceux qui restent encore frileux face à cette idée. Et pour cause, la valorisation du matériel informatique souffre de préjugés qu'il reste à déconstruire.
On vous présente 4 idées reçues qui freinent la valorisation des produits tech en entreprise et on vous explique pourquoi il est grand temps de passer à l'action !
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Selon l’ADEME entre 54 et 110 millions de smartphones dorment dans nos placards. Deux tiers de ces produits sont encore en état de marche. D’ailleurs, 65% des français changent leur téléphone alors que celui-ci fonctionne toujours.
Bon à savoir : La fabrication d’un nouveau smartphone de 5,5 pouces engendre des pollutions non négligeables des sols, des écosystèmes et nécessite près de 170 kg de matières premières. Beaucoup de ces matériaux sont précieux ou très rares comme le tantale ou l’yttrium.
Un geste environnemental et social
Pour fabriquer un smartphone il faut extraire une variété de matières, ce qui comprend des terres précieuses et terres rares. Parmi ces matières des "minéraux conflits", comme l'or et le tantale, qui financent des groupes armés dans des pays à la situation politique tendue. La phase de fabrication, en plus d'avoir cet impact sur des populations locales, a évidemment un impact désastreux sur l'environnement et sur les travailleurs, que la phase d'extraction dégrade systématiquement. Les sites ne sont pas réhabilités à la cession d'activité. Car il faut beaucoup d’acide et de substances toxiques pour extraire les matières, dont seulement 1% qui sont isolées, le reste étant jeté dans la nature. Utiliser des terres rares déjà extraites, donc déjà en circulation, est une solution viable.
L'Impact Certificate
Lorsque vous valorisez vos appareils avec Dipli vous recevez un "Impact Certificate", qui atteste de votre prise d'engagement. Vous pouvez alors valoriser votre initiative auprès de vos collaborateurs, clients et partenaires. Les chiffres sont vérifiés par la méthode ADEME, suite à l’étude de grande ampleur menée conjointement avec Dipli.